C'est
alors qu'il conçut les insignes du pouvoir impérial.
Mais très vite, il fut fasciné par toutes
les facettes de la société brésilienne,
que ce soit la vie privée des riches commerçants,
les us et coutumes de la population Carioca ou la condition
misérable des esclaves noirs, qu’il rendit
d’un trait incisif dans des aquarelles fourmillant
de détails révélateurs. Elles
illustrèrent son « Voyage pittoresque
et historique au Brésil », qu’il
publia à son retour en France de 1834 à 1839.
Joueur
d'Uruncungo (berimbau)
1834
Retour de l'esclave naturaliste
Gouache - 1820
Enterrement d'un noir
Lithographie aquarellée
24,5 x 31,6 cm- 1834 / 1839 |


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